Pages: 220 pages
Edition: Grasset
À Kalamaki, île grecque dévastée par la crise, trois personnages vivent l’un près de l’autre, chacun perdu au fond de sa solitude. Le petit Yannis, muré dans son silence, mesure mille choses, compare les chiffres à ceux de la veille et calcule l’ordre du monde. Maraki, sa mère, se lève aux aurores et gagne sa vie en pêchant à la palangre. Eliot, architecte retraité qui a perdu sa fille, poursuit l’étude qu’elle avait entreprise, parcourt la Grèce à la recherche du Nombre d’Or, raconte à Yannis les grands mythes de l’Antiquité, la vie des dieux, leurs passions et leurs forfaits… Un projet d’hôtel va mettre la population en émoi. Ne vaudrait-il pas mieux construire une école, sorte de phalanstère qui réunirait de brillants sujets et les préparerait à diriger le monde ?
Lequel des deux projets l’emportera ? Alors que l’île s’interroge sur le choix à faire, d’autres rapports se dessinent entre ces trois personnages, grâce à l’amitié bouleversante qui s’installe entre l’enfant autiste et l’homme vieillissant.
J’ai choisi cette lecture via Netgalley, car j’ai été attirée par le titre et la couverture. Je n’avais pas lu le résumé, et j’aurais peut-être dû. Mon avis est assez mitigé, car pendant le premier quart du livre, je n’ai rien compris. L’alternance des points de vues des personnages n’est pas très claire, j’aurais préféré avoir le nom du personnage concerné en titre des chapitres afin de m’y retrouver.
J’ai été séduite par Yannis, l’enfant autiste, enfermé dans son silence et passant son temps à calculer, mesurer tout ce qui l’entoure. Les spécificités de l’autisme sont assez bien décrites, et réalistes. C’est un enfant très attachant, et c’est bien le seul personnage à l’être d’ailleurs. De plus, les informations données sur cet enfant sont toujours les mêmes, j’ai trouvé que ça tournait un peu en rond.
J’ai beaucoup aimé la relation de confiance qui s’installe entre Yannis et Eliot. Parcontre je n’ai pas du tout aimé Maraki, qui m’a gonflée une paire de fois. Je l’ai trouvé insupportable, et parfois sans coeur. Bref à part, Yannis, les personnages ne m’ont pas spécialement touchée.
J’ai abandonné ma lecture à la moitié, car je n’arrivais pas à rentrer dans l’histoire, rien ne m’intéressait réellement. C’est pourquoi, je ne mets pas de note, puisque je n’ai pas terminé ma lecture.
Moi aussi lorsqu’un livre ne me plait pas du tout, je l’abandonne car je sais que j’ai pleins d’autres livres qui m’attendent…
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J’étais embêtée car c’était un SP ! Mais non, je n’arrivais tellement pas à me mettre dedans …
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Je comprend mais justement tu es honnête et c’est ce qu’il faut =)
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Pas évident d’abandonner une lecture mais il faut écouter son coeur! La lecture doit demeurer un plaisir.
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